|
Projet ACRE 2
Point d’Achoppement n° 1
|
dans le pré-financement du projet tel que pré-sélectionné
et
les Problèmes Collatéraux
Au cours du séminaire des coordonnateurs de projets sous programmes SOCRATES Grundtvig à Bruxelles en octobre 2004, le BAT (Bureau d’Assistance Technique) a annoncé à quelques 6 ou 7 associations / organismes privés qu’à défaut de présenter une garantie bancaire à hauteur de la subvention accordée et pour la durée du projet, les associations / organisations ne pourraient prétendre aux pré-financements légalement institués.
Dans le contexte précis de notre
projet et du budget afférant, une garantie bancaire de 160 000 euros devait
être fournie ; autant dire, pour une petite association comme la nôtre,
que cela était impossible.
A partir de cette situation de
blocage, plusieurs choix nous ont été proposés par le BAT :
1.
faire
reprendre le projet par un promoteur public (dans ce cas, il n’y a pas besoin
de fournir de garantie bancaire) ou par un promoteur privé capable de fournir
la garantie bancaire en lieu et place de l’organisation initialement promoteur,
2.
dénoncer
la convention contractuelle et abandonner le projet,
3.
développer
le projet sans prétendre aux pré-financements légalement institués.
L’association Euro-CIDES a fait le troisième choix, après consultation des partenaires.
Quelles suites ?
1.
le
fonctionnement du projet repose uniquement sur la bonne volonté de chaque
partenaire et les partenaires participent aux travaux et aux séminaires de leur
propre chef, sans recevoir un seul remboursement, ce qui démontre qu’ils
croient au projet et ont envie de réussir leurs engagements,
2.
le
partenaire roumain a disparu (Municipalité de BRAILA) sans aucune explication à
partir du moment où il nous a fallu expliqué que l’association promoteur ne
recevrait pas de pré-financement et que donc il n’y aurait pas de remboursement
avant l’authentification du rapport final,
3.
le
BAT a beau eu demander de fournir un rapport complet en guise de rapport
d’étape pour tenter d’obtenir un règlement à hauteur des dépenses déjà
engagées, rien n’y a fait, même si le rapport de l’expert indépendant est
favorable à la poursuite du projet.